Grands Musiciens : Quand on s’y penche de plus près, les stars du rock n’ont jamais de surnoms qui craignent. Ils ont le genre de surnoms que vous aimeriez voir gravés sur votre pierre tombale, comme « The Killer », « The King » ou même « The Poo-Poo Rocker » de GG Allin.
Comme de nombreuses personnes dans les médias, des grands sportifs aux hommes politiques, les musiciens aussi ont parfois hérité de surnoms. Tantôt ridicules, tantôt élogieux, ces surnoms ont aidé à construire la réputation de ces artistes internationalement connus.
Quand on s’y penche de plus près, les stars du rock n’ont jamais de surnoms qui craignent. Ils ont le genre de surnoms que vous aimeriez voir gravés sur votre pierre tombale, comme « The Killer », « The King » ou même « The Poo-Poo Rocker » de GG Allin. Le regretté Hunter S. Thompson appelait affectueusement son ami Marilyn Manson « Shit Eyes », et Manson se faisait appeler « The God of Fuck » à la fin des années 90…
Selon l’équipe d’éditeurs anonymes de Wikipedia, il existe six rois du rock and roll, deux rois du blues, pas moins de quatre rois et deux reines du rap, et quatre rois, ainsi que six reines de musique country. Heureusement, il n’y a qu’un seul roi de la pop, et il est mort sans aucun remplacement évident en vue. Voyons ensemble quelques-uns des surnoms les plus emblématiques du monde de la musique.
Entwistle, The Ox : Le bassiste de The Who, qui mourut en 2002 de manière très Rock-and-Roll à Las Vegas, s’appelait le buffle parce qu’il était très grand, très imposant et pratiquement immobile sur scène.
George Jones, The Possum : Deux DJ d’une radio ont décidé que George Jones, un des plus grands artistes de musique country très connu outre-Manche, avait l’air d’un opossum en profil latéral. D’une certaine façon, ils ont marqué l’Histoire car le surnom est resté au musicien, même après sa mort.
Frank Sinatra, Chairman of the Board : On suppose qu’Ol Blue Eyes tire son surnom de « Président du Conseil d’Administration » de ses présumées connections avec une certaine population, suppositions qui n’ont jamais été prouvées mais qui ont permis d’attiser l’imagerie hollywoodienne autour de Sinatra.
Jay-Z, Hova : Jay-Z a commencé à s’auto-surnommer « Hova » après la chanson Izzo (H.O.V.A.) et The Blueprint sortie en 2001. Il n’est pas donné à tout le monde de voir le public valider un surnom auto-proclamé, surtout lorsque celui-ci est une appropriation du terme hébreu pour « Dieu ». Mais les rappeurs font partie d’une des catégories de musiciens les plus imbus de leur personne, et leur public suit souvent leur moindre lubie… Ceci explique cela.
Ozzy Osbourne, The Prince of Darkness : Nous ne sommes pas sûrs que ce surnom colle encore aujourd’hui au personnage, étant donné que les seules choses « dark » d’Ozzy ces derniers temps sont probablement son pantalon en velours et sa télécommande de télé. Il avait initialement gagné ce titre avec Black Sabbath et son travail en solo.
John Bonham, Bonzo : Selon la tradition de Led Zep, Robert Plant a commencé à appeler son batteur Bonzo d’après un chien de bande-dessinée qui était populaire à l’époque.
Eric Clapton, Slowhand : Les rumeurs disent que ce surnom vient de l’époque où le chanteur était dans le groupe The Yarbirds. Clapton cassait souvent ses corde de guitare, et le public à ce moment-là claquait lentement des mains le temps qu’il remplace sa corde cassée.
Paul Weller, The Modfather : Paul Weller a aidé à réactiver le mouvement « Mod » avec The Jam à la fin des années 70. Aujourd’hui, il a toujours l’air vif et fringuant, gardant même sa coiffure Mod dans ses années grisonnantes.
David Bowie, Thin White Duke : Bowie crée son propre personnage en 1976 dans le cadre de son album Station to Station. La période «Thin White Duke» de Bowie a été marquée par une nouvelle coiffure lissée, et des vêtements suaves et flashy. L’idée s’inspire du personnage d’humain-extraterrestre que Bowie joue dans le film The Man Who Fell to Earth sorti la même année.
Morrissey, Moz : Et on finit avec un surnom ridicule. Vous pensiez que le charmant nom de « Moz » était un raccourci de Morrissey ? Il n’en est rien : le sobriquet lui vient de l’époque des Smiths, lorsqu’il passait son temps à se gaver de sandwichs à la mozzarella. Comme quoi tous les surnoms de musiciens ne sont pas forcément glamours ou chargés de symboles…
Photo Frank Sinatra by FotoshopTofs, CC0
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