My Skin, My Way - Photo : Gillette Venus

Venus invite les femmes à s’accepter telles qu’elles sont, avec leurs formes, leurs poils, leurs “imperfections”.

D’après une enquête Harris Interactive pour la marque Venus, menée auprès d’un panel de jeunes femmes de 18 à 25 ans, 76% d’entre elles pensent que ce sont les petits défauts d’une femme qui la rendent plus belle.

En 2018 une autre enquête Harris Interactive, intitulée “PRENDRE SOIN DE SOI, UNE ACTIVITÉ QUI SE PARTAGE ?” disait : C’est par leur corps que les individus entrent en contact avec le monde. Grâce à lui qu’ils peuvent l’appréhender, y vivre, mais également être perçus et reconnus par leurs pairs. Le corps est ainsi à la fois une expression de soi mais également le reflet du regard des autres, qui échappe au contrôle. Les Français se déclarent majoritairement à l’aise quand il s’agit de parler de leur corps à leurs proches, qu’il s’agisse de leur conjoint (84%), de leur famille (70%) ou encore de leurs amis (65%). Mais tous les sujets ne sont pas sensibles de la même manière : on note que si à nouveau, les Français sont plutôt à l’aise à l’idée d’aborder le sujet de leur corps, les questions liées aux défauts que l’on se trouve (29%), au poids (25%) ou encore à la pilosité (21%) sont source de gêne pour plus d’un Français sur cinq. Les femmes particulièrement se montrent réticentes à évoquer ces questions (une dizaine de points d’écart avec les hommes).

Venus célèbre la diversité, la beauté et la singularité des femmes, les invitant à s’accepter telles qu’elles sont, avec leurs formes, leurs poils, leurs “imperfections”.

Mais bien loin du déclaratif, force est de constater qu’à l’ère du digital et des filtres sur les réseaux sociaux, il est aujourd’hui particulièrement difficile pour les femmes de s’accepter simplement comme elles sont : avec leurs formes, leurs cicatrices, vergetures, cellulite ou… poils ! Ces derniers en particulier restent un facteur de gène et de stigmatisation. Dans ce combat contre l’idéalisation des corps, 60% de femmes affirment que les marques ont un rôle à jouer pour les aider à accepter leur corps, leur pilosité et s’assumer pleinement. Face caméra, les femmes qui apparaissent sur les supports de communication de la marque Venus vous ressemblent davantage. Repérées dans la rue ou sur internet, elles illustrent la féminité dans toute sa diversité. Derrière la caméra, la production de la campagne My Skin, My way – de la réalisation aux prises de vue en passant par le casting – a été gérée par une équipe 100% féminine, une rareté dans le monde publicitaire, où seulement 7%ii des réalisateurs au niveau mondial sont des femmes.

Les imperfections ne sont plus gommées. La peau c’est 1,7 m2 chez une femme adulte ! Elle est rarement 100% parfaite mais quelque soit les petits défauts, cette enveloppe corporelle ne demande qu’à être protégée. La pilosité n’est pas antinomique de la féminité et de la sensualité. Pour 89% des femmes, « La pilosité d’une femme est naturelle ». Encore faut-il l’assumer. My Skin, My Way montre ainsi de vraies situations de rasage : sur le ventre, les avant-bras et même les doigts de pied ! Autant de situations qui n’étaient pas montrées dans les publicités jusqu’alors entrainant des complexes chez les femmes concernées.

i Etude menée par Harris Interactive auprès de jeunes femmes, âgées de 18 à 25 ans. Echantillon représentatif (quotas sur région d’habitation). Interrogées sur panel online du 08 au 13 Janvier 2020. Taille de l’échantillon : 313 interviews
ii D’après une étude menée par https://www.freethebid.com