Connaîssez‐vous le photographe français Sacha Goldberger ? Non ?
Et bien, si vous demandez à Gaby, sa mère, elle vous dira :
“C’est sans aucun doute le meilleur photographe du coin !”
Mamika, sa grand‐mère ajoutera :
“C’est sans aucun doute le meilleur photographe du coin !”
Mais c’est quand même Irène, son chien, qui en parle le mieux… :
“Woof woof, woof woof, woof…”
Super Mamika de Sacha Goldberger
Le plus fou…C’est que tout cela est vrai !
Sacha Goldberger c’est du talent, un savoir‐ faire et de l’originalité qui, conjugués ensemble, sont à de superbes photos qui ont été exposées à travers le monde entier. Depuis 2008, les galeries parisiennes Wanted, Bailly Contemporain et Acte 2 Gallery l’ont éxposé, il l’a été aussi à Rio au CCB Museum, au Festival Photo de New Delhi, à Amsterdam Art Fair, à la London Art Fair, au Festival d’Angkor, à Getxophoto, Palm Beach, Berlun…
Sa grande série de photos, “Mamika“, transformant sa grand‐mère en héroïne, a donné lieu à l’édition de deux livres publiés en Europe et aux Etats‐Unis : “Mamika, big little grandmother“(2010) and “Mamika and co” (2012). La galerie parisienne “the school Gallery” a exposé en 2014 sa série “Super Flemish” où sont mêlés art pictural flamand et pop culture des super‐héros.
Sacha Goldberger dévoile sa nouvelle série photographique “Meet my Mum” au Grand Palais/Art Paris du 25 au 29 mars 2015.
DOUBLE A de Sacha Goldberger
Dans cette nouvelle série, l’artiste met en évidence un sujet qui lui tient à cœur : la famille. L’intimité qu’en partagent ses membres, parents et enfants, et pourtant la solitude qui en même temps accapare chacun. Nos parents, en nous influençant à travers l’éducation qu’ils nous ont donné, pèsent sur nos vies et finissent parfois à notre charge. Sacha Goldberger placent ses sujets dans l’Amérique des années cinquante, le spectateur puisant dans ses souvenirs pour se remémorer les rapports entretenus avec ses propres ascendants.
Pour Sacha Goldberger
“Meet my Mum pointe ce rapport de tendresse qui tend parfois à l’oppression avec ces parents qui nous ont faits, construits, aimés… Et qui avec le temps finissent souvent par se retrouver seuls et dépendants.”
Ce sont de vrais couples parents/enfants qui se sont prêtés au jeu de ces 17 tableaux, et plus d’un an a été nécessaire à la réalisation de cette série. Ce ne sont pas moins de 70 personnes qui ont participé à ce projet pour lequel il a fallu 6 mois de préparation, 1 mois de shoot, 4 mois de retouches et 3 mois de tirages.
A ne pas manquer à Art Paris au au Grand Palais du 25 au 29 mars
(Pour tout supplément d’informations perso sur l’artiste : woof@woof.woof.org!)