Mélange inédit d’instrument acoustiques et de boucles électroniques, la musique Louis Arlette bouillonne d’idées novatrices. Une version très presonnelle de la chanson française !
Etonnant Louis Arlette passé de la musicologie, à son travail d’ingénieur du son pour des groupes comme Air, à un premier maxi qui sort aujourd’hui, et présente une vision neuve et moderne de la chanson française. Louis Arlette métamorphose la chanson classique en la nourrissant de ses connaissances en musique concrète et arrangements pointus. Mélange inédit d’instrument acoustiques et de boucles électroniques, la musique Louis Arlette bouillonne d’idées novatrices qui se nourrissent de ses lectures et de son amour de la forme venue de sa connaissance du monde de l’art. Il a en effet composé la musique d’un documentaire consacré à Georges Rousse, l’éminent photographe d’art contemporain qui lui a offert en échange la photo qui illustre la pochette.
Son maxi, tel le premier extrait Jeux d’Or, contient des bidouillages qui éclairent ces chansons d’une lueur sombre mais profondément éblouissante. « Mes goûts musicaux sont partagées entre Nine Inch Nails et Radiohead, Einstürzende Neubauten ou Throbbing Gristle, sans oublier Alain Chamfort ou Noir Désir… » explique Louis Arlette.
Il a également collaboré avec Carla Bruni, Charles Berling, Cat Power, La Phaze… En tant que compositeur, arrangeur ou réalisateur, il est sollicité par de grands noms de la mode (Schiaparelli, Dries Van Noten, Alaïa, Chanel) et artistes (Jean Paul Goude, Xavier Veilhan, Georges Rousse.)
Ce grand écart artistique oblique à un effort d’adaptation que l’on fait en découvrant le clip de Jeux d’Or qui décrit une épopée dans la nature qui finit mal, entre tentations érotiques, morbides et amours suicidaires. Louis Arlette débute sa carrière en grande pompes. Un artiste à suivre de très près.
La page facebook de Louis Arlette : https://www.facebook.com/louisarlettemusic/