le Download festival comes in june to Paris !

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Download festival
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Le Download Festival à Paris les Les vendredi 10, samedi 11 et dimanche 12 juin 2016 avec Iron Maiden, Rammstein, Deftones, Korn ou encore Ghost et Gojira, mais aussi Megadeth !

Créé en 2003 au Donington Park dans le Leicestershire en Angleterre le Download festival propose chaque année le meilleurs du rock. C’est l’Hippodrome de Longchamp qui pour cette première édition française recevra les, 10, 11 et 12 juin le topissime Download festival ! 3 jours exceptionnels avec notamment, Iron Maiden, Rammstein, Deftones, Korn ou encore Ghost et Gojira seront de la partie!

[vc_text_titles title=”IRON MAIDEN” title_type=”h4″ page_title_type=”v1″ title_align=”left”]

IRON MAIDEN et la France, c’est une longue histoire d’amour qui a débuté au début des années 80. Et rien que pour la capitale, ce sont près de 25 concerts donnés en 35 ans de carrière ! Après avoir enregistré son dernier (double) album en date, « The Book of Souls » au Studio Guillaume Tell, en banlieue parisienne, le groupe a dû affronter l’année dernière une difficile épreuve: la maladie de son chanteur. Désormais guéri, plus déterminé que jamais, Bruce Dickinson dirigera vers Paris le « Ed Force One », son énorme Boeing 747–400 destiné au transport sur plus de 88000 km et 35 pays, du groupe, de toute l’équipe technique et de la logistique MAIDEN. Le 10 juin 2016, IRON MAIDEN honorera le public du Download Festival à Paris d’une unique date française qui fera la part belle aux classiques et dévoilera les nouvelles pépites de « The Book of Souls ».

[vc_text_titles title=”DEFTONES” title_type=”h4″ page_title_type=”v1″ title_align=”left”]

En 22 ans de carrière discographique, leur succès n’a jamais faibli… Comment reste-t-on les porte-paroles d’une génération musicale, alors que l’heure n’est plus au phénomène nu-metal? Malgré la valse des modes, les drames de la vie (la disparition du bassiste co-fondateur Chi Cheng), DEFTONES est pourtant toujours dans la course, avec son style et ses sonorités inimitables. Une vision dont il ne se détourne pas et qui lui assure une longévité finalement légitime. Un nouvel album, “Gore”, le huitième de sa discographie studio, sort en avril prochain. Quatre ans après le magistral « Koi No Yokan », c’est la promesse d’une nouvelle oeuvre résolument à part. L’impatience de voir le groupe live est immense, ne serait-ce que pour atténuer le souvenir douloureux de trois dates annulées au Bataclan, un certain mois de novembre 2015.

[vc_text_titles title=”GHOST ” title_type=”h4″ page_title_type=”v1″ title_align=”left”]

GHOST, c’est une révélation et un mystère. A ses débuts discographiques, il y a 6 ans, on aurait pu croire à un coup marketing qui mélangerait simplement toutes les recettes éculées du blasphème et de la provocation sur fond de black ou de doom metal. Non, GHOST a beau avancer masqué avec, à sa tête, Papa Emeritus (troisième du nom), ou être expert en énigmatiques communiqués, c’est beaucoup plus fort que ça. Bienvenue dans l’univers ésotérique du groupe suédois: GHOST a su se rallier une grande frange du public metal, alors que sa musique pop/classic rock ne l’est assurément pas, se créer un fan club de personnalités (Dave Grohl, METALLICA, Phil Anselmo…), tout cela à force de tourner intensément, de trouver des mélodies imparables et de produire des albums remarquables. Le dernier en date, « Meliora » l’impose dans la cour des grands. On est envoutés et on en redemande !

[vc_text_titles title=”GOJIRA” title_type=”h4″ page_title_type=”v1″ title_align=”left”]

Jamais la notoriété d’un groupe metal fondé en France n’aura été telle dans le monde, qui plus est si son répertoire, death, progressif et technique, ne fait aucune concession commerciale. Des dates sold-out partout, que ce soit en Europe, aux Etats-Unis, en Asie, rien n’arrête la machine GOJIRA… si ce n’est peut-être l’enregistrement d’un nouvel album, comme c’est le cas actuellement. Il est vrai que la suite de « L’enfant sauvage », cinquième oeuvre maîtresse, en 2012, se fait attendre avec impatience, mais le groupe mené par les frères Duplantier ne laisse jamais rien au hasard. Musique et oeuvres picturales font partie d’un tout conceptuel qui sera forcément exceptionnel. Rendez-vous au Download pour découvrir un nouveau répertoire qui coïncide aussi avec le 20e anniversaire de la formation.

[vc_text_titles title=”ANTHRAX” title_type=”h4″ page_title_type=”v1″ title_align=”left”]

À leurs débuts, dans les early 80s, ils faisaient figure de sales gosses de l’underground metal américain, à l’instar de METALLICA, EXODUS, MEGADETH ou SLAYER. Ils étaient en fait les inventeurs d’un genre et l’incarnation d’une génération entière de metal freaks adolescents. Aujourd’hui, les thrashers New Yorkais ont 35 ans au compteur, sont des légendes vivantes et sillonnent sans faillir le monde comme au temps de leur premier moshpit. Scott Ian, Charlie Benante, Frank Bello, Joey Belladona, les membres originaux des cultes « Spreading The Disease » et « Among The Living » seront sur la scène du Download Festival de Paris avec un onzième album studio à défendre, « For All Kings » (sortie 26 février 2015). Hâte !

[vc_text_titles title=”TREMONTI” title_type=”h4″ page_title_type=”v1″ title_align=”left”]

À 42 ans, le guitariste Mark Tremonti peut être fier d’une carrière qui n’a jamais vraiment connu que le succès. De CREED, qu’il fonde en 1995 et avec lequel il joue encore de temps à autre, à ALTER BRIDGE dont il partage un leadership naturel avec le chanteur Myles Kennedy depuis 2004, la route de Mark est pavée de hits et de tournées triomphales. Tandis que Myles Kennedy s’affairait avec Slash, Mark Tremonti s’est décidé à se lancer dans une aventure sous son propre nom. Dans TREMONTI, il renoue avec des influences pas forcément évidentes dans ses autres groupes: des riffs radicalement heavy metal, de grosses mélodies et une énergie incroyable est la recette que l’on retrouve sur ses albums «  All I Was » (2012), « Cauterize » (2015) et « Dust » (avril 2016), dont on découvrira la première interprétation live en France des titres à l’occasion du Download festival.

[vc_text_titles title=”AVATAR ” title_type=”h4″ page_title_type=”v1″ title_align=”left”]

Dix ans se sont écoulés depuis le premier album “Thoughts of No Tomorrow”. Dix ans que le groupe suédois de death metal mélodique a construit son univers si particulier de théâtralité, entre harmonies presque pop et brutalité épique. Mené par le délirant chanteur maquillé, Johannes Eckerström, en personnage récurrent du clown, AVATAR sort un mois avant le Download un concept-album intitulé “Feathers & Flesh”, premier disque en deux ans, avec une illustration de pochette en collages so 70s et un nouveau répertoire inspiré dans les textes, paraît-il, des BEATLES et de QUEEN. Il faut donc s’attendre à tout de la part de ce groupe foncièrement original. Et quand on sait que la réputation du groupe s’est surtout bâtie sur la qualité de ses prestations scéniques, vous savez ce qu’il vous reste à faire…

[vc_text_titles title=”WE CAME AS ROMANS” title_type=”h4″ page_title_type=”v1″ title_align=”left”]

Déjà une dizaine d’années de carrière, quatre albums studio à son actif, WE CAME AS ROMANS jouit d’une réputation qui ne fait que grossir sans jamais faiblir grâce à des tournées incessantes dans le monde entier. Après un album éponyme paru en juillet 2015, produit par David Bendeth (PARAMORE, OF MICE AND MEN, BRING ME THE HORIZON…) pour lequel le groupe de metalcore américain avait retenu dix superbes titres sur quarante chansons composées au total, WE CAME AS ROMANS est reparti sur la route. Avec un patronyme tel que le leur, les six musiciens du Michigan pourront clamer un «  Veni, Vidi, Vici » après leur passage au Download Festival, car ils vont conquérir à coup sûr ce public parisien qui a eu l’occasion de les accueillir à de nombreuses reprises au fil de leur carrière.

[vc_text_titles title=”MEGADETH” title_type=”h4″ page_title_type=”v1″ title_align=”left”]

Le timing est parfait: c’est avec son quinzième album studio sous le bras, « Dystopia », sorti le 22 janvier dernier, que Dave Mustaine montera aux côtés des autres membres de MEGADETH sur la scène du Download Festival à Paris. Un disque considéré pour beaucoup comme un retour au grand thrash metal qui a fait la notoriété du groupe américain à ses débuts. Cette date, première venue en France depuis 2013, sera aussi l’occasion de faire connaissance avec une formation remaniée à 50%. Après avoir tenté, en vain, de reformer le line-up de l’album « Rust in Peace » (Nick Menza, Marty Friedman), Mustaine a finalement fait un choix plus surprenant de recrutement: Kiko Loureiro, le guitariste virtuose brésilien d’ANGRA et le batteur Chris Adler de LAMB OF GOD. Verdict en juin !

[vc_text_titles title=”NEW YEARS DAY” title_type=”h4″ page_title_type=”v1″ title_align=”left”]

Bienvenue dans le « hauntedmansioncore », bienvenue dans l’univers sombre de NEW YEAR’S DAY. Un univers qu’il ne faut surtout pas juger hâtivement sur l’imagerie ou limiter aux clichés gothi-sants, car le groupe californien est beaucoup plus que ça. Il s’est construit une vraie crédibilité en 10 ans, trois albums studio et trois EPs, grâce à un mélange de power-metal et de power-pop, de gros riffs, de mélodie, de synthés et une écriture arrivée à maturité. Et puis, il est mené par une chanteuse de caractère, Ash(ley) Costello, dont l’inspiration et la performance vocale forcent le respect. Elle déclarait récemment avoir réalisé avec le dernier disque en date, « Malevolence », paru en octobre 2015, l’oeuvre la plus personnelle de sa carrière, sans doute aussi la plus metal de toutes, signée « avec du sang et des larmes ». Une émotion à fleur de peau que nous attendons tous de partager avec NEW YEAR’S DAY en juin prochain.

[vc_text_titles title=”THE INSPECTOR CLUZO” title_type=”h4″ page_title_type=”v1″ title_align=”left”]

Fondé en 2008, le duo formé par Laurent Lacrouts (guitare) et Mathieu Jourdain (batterie) a visité plus de 44 pays au cours de 800 concerts. Chez eux, Musique, Terre et Champs s’accompagnent jusqu’au point de fusion : ils auraient pu se satisfaire d’une solide réputation d’agitateur musical autour du monde, avec leur incroyable style hybridant rock, metal, hard rock et funk, les CLUZO s’adonnent aussi à l’élevage d’oies et de canards et à de la vente artisanale sur le marché de Mont-de-Marsan. Résolument à part. Et puis, dans une industrie musicale standardisée, qui peut se targuer de publier un double album en 2016 (“Rockfarmers”), en toute indépendance, avec prises live et enregistrement analogique et à Nashville de surcroît ? Authenticité et tradition sont les maîtres mots : redécouvrez-en le sens au Download.

[vc_text_titles title=”le Download festival – Bande Annonce” title_type=”h2″ page_title_type=”v1″ title_align=”left”]

Le Download Festival à Paris,  les vendredi 10, samedi 11 et dimanche 12 juin 2016 sur l’Hippodrome de Longchamp pour tout savoir sur le festival cliquez ici