Les dérives de la science quand celle-ci est utilisée à des fins mercantiles, tel est le thème de la toute nouvelle saison du Triangle Secret ! Toujours orchestré par le duo Didier Convard l’architecte et Denis Falque le dessinateur, Lacrima Christi est un récit d’espionnage haletant sur fond de mystères mêlant religion, franc-maçonnerie et histoire.
Le premier tome “L’alchimiste” nous plonge de nouveau dans cet univers de trahisons et de mystère entre le Vatican, la Corée du Nord et les Etats-Unis. Jean Nomane est le Rectificateur. Agent d’élite du Triumvirat, véritable machine à tuer, il est envoyé en mission à Pyongyang, en Corée du Nord. Sur place, le despote mégalomane Cho Ihn Kyang a fait construire dans le plus grand des secrets un laboratoire capable de synthétiser le Lacrima Christi.
Au XIIe siècle, pendant les croisades, un alchimiste franc-maçon, le célèbre Biancofuori, met au point un puissant poison, le “Lacrima Christi” (larmes du Christ), à partir de la souche la plus effroyable de la peste, qui doit permettre au Vatican de prendre la ville de Saint-Jean d’Acre en Palestine. Il enferme son poison dans des capsules de verre et prend la direction de la Terre Sainte. Mais les terribles larmes du christ restent au fond de l’océan pendant des siècles, jusqu’à ce que des plongeurs mettent la main dessus et vendent le virus à la dictature nord-coréenne. En effet, c’est le Gardien du Sang Bencivenni qui les a découverts au large d’Haïfa, onze mois plus tôt et qui n’a pas hésité à trahir ses commanditaires pour vendre cette arme terrible au plus offrant…
Or, quiconque s’en empare deviendra le maître de la planète… Le Vatican va donc se mêler de cette affaire… Voilà pour le résumé de ce premier tome “L’alchimiste” ; si vous êtes amateur d’ésotérisme, de religion, de manipulations et d’histoire, ce livre devrait vous enthousiasmer.
