Julius adore le moment de Noël car il est convaincu que c’est le Père Noël qui l’a déposé tout bébé dans l’Orphelinat des Grelots, là où il habite. “Il est parfois bon de garder ses rêves d’enfant…” Jacob Ley
Après “A la poursuite du Roi Plume” et “L’Ours Montagne“, voici “Julius et le Père Noël“, le dernier film de Jacob Ley, tout droit sorti du studio d’animation danois Copenhaguen Bombay et qui sera en salles le 23 novembre prochain.
Noël reste éternellement lié aux croyances de l’enfance. Julius adore le moment de Noël car il est convaincu que c’est le Père Noël qui l’a déposé tout bébé dans l’Orphelinat des Grelots, là où il habite. Or, dans cet orphelinat vit un autre pensionnaire plus âgé que Julius et qui se nomme Gregor. Malheureusement, Gregor, qui n’a jamais accepté l’arrivée de Julius, est jaloux de lui et se moque de ses croyances de Noël. Pourtant, un jour Julius se trouve transporté dans un monde magique où l’on compte sur lui pour sauver Noël car le Père Noël a bel et bien disparu ! Jacob Ley, pour réaliser “Julius et le Père Noël”, s’est inspiré des traditions scandinaves et de dessins d’elfes réalisés au 19ème siècle par un de ses aïeuls.
Dans ce long métrage destiné aux enfants à partir de 4 ans, les spectateurs sont plongés dans les années 1930, par un hiver très rude, durant lequel tout le mois de décembre est consacré aux préparatifs du réveillon de Noël. Si à l’orphelinat les réjouissances étaient sans doute peu nombreuses et les plaisirs plus simples, le passage de Julius du monde réel au monde magique, est une invitation aux spectateurs, petits et grands à imaginer et à retrouver la magie des noëls d’autrefois.
Grâce au mélange de plusieurs techniques d’animation traditionnelle comme la pâte à modeler, la stop motion, l’animation d’éléments découpés avec d’autres techniques issues de l’animation digitale, le film revêt un aspect visuel ludique et des plus originaux. Animé en 2D, le film a ainsi un étonnant rendu 3D notamment parce que la plupart des éléments ont été préalablement créés en volume.
Bienvenue dans le monde incroyable du folklore scandinave et de l’Europe du nord et de l’est ! “Julius et le Père Noël” est une pure reconnexion avec les joies simples et les traditions d’antan et une immersion dans des univers enchanteurs peuplés de fées, de lutins, de cochons en massepain, de petites chèvres de paille et de biscuits qui fleurent bon le gingembre ! Et comme aime le dire le réalisateur Jacob Ley : “Il est parfois bon de garder ses rêves d’enfant…“!
Distribution France : Les Films du Préau
Jacob Ley est né en 1976 et a suivi une formation à l’Ecole de Design Kolding puis à l’Ecole Nationale du Film du Danemark. Pour Copenhagen Bombay, Jacob a travaillé en tant que réalisateur sur la série Bogus & Humbug et comme directeur de l’animation sur une autre série intitulée Little Tot. Il a ensuite réalisé un moyen métrage, The Secret of The Ice Flower, où il utilisait des techniques d’animation traditionnelle comme la pâte à modeler ou l’animation d’éléments découpés mélangées à d’autres plus modernes pour un rendu bien particulier. Il reprendra cette façon de travailler pour son premier long métrage Julius et le Père Noël. Il est également musicien et prête parfois sa voix aux personnages de ses films.
“Ce sont les dessins d’elfes réalisés au 19ème siècle par un de mes aïeuls, Hans-Christian Ley, qui m’ont donné envie de réaliser Julius et le Père Noël. Je voulais faire un film de Noël où l’on se reconnecte aux joies simples et aux traditions d’antan. Même quand on a cessé de croire au Père Noël, aux elfes, aux anges ou aux lutins, il est parfois bon de vouloir garder ses rêves d’enfant. Julius et le Père Noël nous ramène dans les années 1930 à une époque où l’hiver était rude et où l’on attendait et préparait durant tout le mois de décembre le réveillon de Noël. A l’orphelinat, les occasions de réjouissance étaient sans doute peu nombreuses et les plaisirs plus simples. Quand Julius passe du monde réel au monde magique, j’ai voulu inciter les spectateurs, petits et grands, à faire appel à leur imagination et à retrouver la magie des noëls d’autrefois.”