Homa sort ses synthés vintage pour habiller The taste of old times. Au menu, de la pop subtile et très arrangée et un imaginaire futuriste.
Homa a dévoilé le premier extrait de son album qui sort le 23 mars chez Octopus. Au menu, de la pop subtile et très arrangée et un imaginaire futuriste. The taste of old times, le premier extrait d’Homa à découvrir en vidéo sur Youtube montre que son auteur, Alexandre Barberon a bien retenu les leçons d’harmonie apprises avec son professeur de piano Jeanine Boutin, pianiste-concertiste et élève de Messiaen qui lui a inculqué l’amour du contrepoint et de Scriabine. Puis Homa a fait son chemin, découvert le rock, la musique électronique. Tout cela influence sa musique très écrite et arrangée, que l’on a déjà pu découvrir avec l’excellent Ep Google Only Knows en 2015, sorte d’hommage déguisé à Brian Wilson des Beach Boys, et plus encore dans ce premier album aux mélodies délicates qui sort en ce début d’année.
Evoquant The Flaming Lips, Klaus Schulze, Poenix, Air, Tame Impala et MGMT, Homa creuse sa propre voie, et un son d’album très personnel, de la pop d’orfèvre délicatement arrangée, qui a le bon goût de ne pas en faire trop. La vidéo en 3d produite par Katzika et le studio Mikros nous entraine dans un paysage industriel où soudain le merveilleux va surgir, entre Tron et 2001 l’odyssée de l’espace, territoires imaginaires et spatiaux où la musique d’Homa prend toute sa sève.
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