Goldilox : I Love You tiré de l’album Very Best dans les bacs à la fin juillet

Après avoir sorti plusieurs singles tout au long de l’année, prouvant chacun l’étendue de ses influences et de ses capacités à s’approprier un genre, Goldilox revient avec “I Love You“, premier titre qui figurera sur “Very Best” un album disco qui verra le jour à la fin du mois de juillet.

Réalisé par The Only G ( réalisateur et producteur attitré de Goldi), le clip, tourné à la caméra d’origine nous plonge dans une ambiance 70’s authentique évoquant la fièvre des clubs de la grande époque du disco comme le Studio 54.

“Je veux être autour de ce qui m’inspire, en ce moment c’est d’être ici à Paris. Ici, être unique est encouragée. Tu dois aller là où tu peux éveiller. J’ai l’impression d’être étudiante à Paris, je prends tout ce qui est magique et ça ressort non seulement dans ma musique, mais dans tout ce que je fais “

Goldilox sort des clichés de la belle femme qui chante. Dans ses paroles, elle raconte sans filtre ses aventures, ses rencontres sur deux continents, ses désillusions aussi. Un moyen pour elle de se retrouver et de proclamer une liberté artistique illimitée.

Avec une honnêteté rare, Goldilox exhume les souvenirs avec des détails et livre avec passion. Produit par theonlyG, la paire s’est trouvé un équilibre entre des moments totalement hédonistes et ceux des confessions les plus intimes. Un contraste émotionnel que l’on remarque en écoutant ses chansons. Une musique inspiré de 808, des tambours inspirés des tribus, du studios 54 et qui parfois explosent en boucles électroniques hypnotisantes. La production, la voix et les paroles semblent également changer en contraste.

“Je suis vraiment compétitive, quand je travaille avec G, c’est beaucoup de va-et-vient. Nous essayons de surpasser les idées des uns et des autres… ça devient très intense. C’est une combinaison étrange et incroyable que la plupart des gens ne comprennent pas. Je recommande de travailler avec quelqu’un qui enflamme un certain feu en vous. Le feu est de l’énergie et vous avez besoin de beaucoup d’énergie pour l’exécuter. Juste la quantité de contenu que nous poussons entre nous deux me fait trébucher. Ce que Jean-Paul Goude est à Grace Jones … C’est G pour moi. “

Goldilox est née et a grandi au Cap Breton, au Canada. La musique l’a emmenée à Los Angeles pour finalement atterrir à Paris depuis 2015. Un goût pour l’inconnu qui forge sa vision et qui transparaît à travers sa musique.

Goldilox semble venir d’un autre monde, un nouveau monde qui en appellerai continuellement un autre. Véritablement sexy, Goldilox , semble pourvoir envoûté tout ce qui l’entoure. A la fois douce et guerrière, son chant vous emballe et vous emporte, telle une sirène juchée sur la scène, sur la scène de la vie, de sa vie. Elle a travaille avec G, pourrait-on dire d’ailleurs son poing G, elle ose être ce qu’elle est, c’est à dire une artiste qui vit ses sensations, ses émotions comme une jouissance. L’esthétisme de son corps et celui de ses images donnent le ton et la couleur de ce qu’elle veut partager avec les autres. Elle écrit et décrit sa liberté de femme, celle qui fait que l’on les aime, pleine et entière, fatale, créative et souvent magique. Goldilox à voir et à revoir, à entendre età  réentendre sans de quelconques retenues.

Photo : Goldilox

Le site de Goldilox : www.yunggoldilox.com