Festival du film court francophone : Un poing c’est court !

La ville de Vaulx-en-Velin annonce la 18ème édition du Film Court Francophone « Un Point c’est court ! », qui se tiendra cette année du 19 au 27 janvier 2018. Ce festival propose une sélection de courts métrages placés sous le signe distinctif de la francophonie, un laboratoire d’œuvres initiatrices et engagées qui intègrent diversité et brassage culturel. L’association qui œuvre à promouvoir Un Poing c’est court a été créée en 2008 afin de permettre à la population de se fédérer autour d’un projet commun. 50 nationalités sont représentées à Vaulx-en-Velin.

Le Festival du Film Court Francophone de Vaulx-en-Velin contribue à :

• former et éduquer à l’image et à l’engagement citoyen en créant des lieux de débats et d’expressions entre les différents publics ;

• soutenir la création cinématographique émergente : être un tremplin pour les jeunes réalisateurs et les acteurs du format court de l’espace francophone ; • contribuer au rayonnement culturel de la ville au niveau local, national et international en proposant un événement culturel de qualité ouvert au régional et à l’international ;

• mettre en synergie les acteurs économiques, associatifs et éducatifs du territoire dans un esprit de solidarité et de mutualisation autour d’un événement culturel local, véritable passerelle entre les villes.

Une des spécificités de ce festival réside dans la participation active de personnes motivées et passionnées qui constituent les différents jurys : professionnel, presse, habitants, grandes écoles, alliance française. Lors du premier week-end du festival, les membres des jurys vont visionner ensemble les programmes en compétition puis délibérer pour la remise d’un prix spécifique lors de la soirée de clôture.

La soirée d’ouverture donne chaque année une carte blanche à une personnalité du cinéma. En 2018, ce sera Michel Ocelot. Autodidacte, Michel Ocelot a consacré toute sa carrière au cinéma d’animation. Depuis le début, il écrit ses propres histoires, dessine lui-même les personnages de ses films et crée leur univers graphique. C’est en 1998 que le grand public découvre Michel Ocelot, grâce à l’immense succès public et critique de son premier long métrage Kirikou et la Sorcière.