Sa voiture était sur le parking du Landmark Hotel, la nuit au cours de laquelle Janis Joplin a été retrouvée morte… Dealer ou la valse des maudits vient de paraître en poche.
Basé sur des faits réels, Dealer est à la fois une fiction ultra-documentée sur les coulisses subversives de la Jet set rock’n roll, et un thriller noir haletant dans la plus pure veine du genre… Dealer c’est l’histoire d’un jeune aristocrate issu d’une célèbre famille française. Ses titres de noblesse ? Fournir de la drogue aux plus grandes rock-stars de la planète. Dealer chic, il obtenait auprès de la French Connection la drogue la plus pure…
Les pérégrinations de Jean de Breteuil nous entraînent dans le Marrakech des années soixante, le Swinging London, le Los Angeles des Hippies et le New York de Warhol. Et on y fait des rencontres forcément troublantes : la Comtesse de Breteuil, Taliiha et Paul Getty, Brian Jones, Mick Jagger, Keith Richards, Anita Pallenberg, Marianne Faithful, Jim Morrison, Paméla Courson, Jimi Hendrix, Janis Joplin et même… Charles Manson, l’assassin illuminé de Sharon Tate.
Dealer est un livre à mettre dans la poche de tous les lecteurs fascinés par la folie des Sixties, où la drogue dopait le génie créatif d’une jeunesse qui n’avait peur de rien. Pas même de mourir. Paru en édition originale en 2011, “Dealer ou la valse des maudits” vient de paraître en livre de poche au format 110×180 mm dans toutes les librairies, les magasins FNAC et sur Amazone. 352 pages, couverture souple, au prix de 8,90 €.
Après des études de droit et de communication, Philippe Will entre à TF1 où il collabore, entre autres, avec Thierry Ardisson et Coluche. Musicien professionnel puis producteur, il enregistre plusieurs dizaines d’albums. Aujourd’hui, il se consacre à l’écriture et partage son temps entre Paris et l’Auvergne, où il élève des chevaux. Il a publié chez Alma son troisème roman Mémoire Fauve (2014).
Guérilla son dernier livre qui est sorti en février de cette année raconte une histoire qui se situe dans les méandres du pouvoir et des cabinets ministériels. Nous sommes en 1982. Il est anarcho-sataniste. Il joue de la guitare dans un groupe de wild rock et entend l’imposer à la face du monde. Bourgeois pas encore bobo du ve arrondissement de Paris, notre révolutionnaire profite néanmoins du piston paternel pour échapper au service militaire (qui existait encore). Le voici affecté dans une belle planque, à deux pas de chez lui : les bureaux du Premier ministre, Pierre Mauroy, à Matignon. Il y est chargé – avec une belle équipe de ronds de cuir et de bras cassés – de répondre au courrier et aux réclamations qu’envoie la France profonde. Une belle vie, s’il n’y avait pas l’administration courtelinesque et le cabinet ministériel avide de faire carrière. Afin de survivre à l’absurdité, notre guitariste – fidèle au wild rock – décide d’appliquer à la vie de bureau les règles de la guérilla.
