Bösendorfer présente son piano en Edition limitée Jean Cocteau

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1968
piano edition limitée BÖSENDORFER
piano edition limitée BÖSENDORFER

S’il est une personnalité qui a marqué le siècle dernier c’est bien Jean Cocteau; il a été le lanceur de mode, le graphiste, dessinateur, dramaturge et cinéaste français dont l’originalité, le pouvoir créatif et l’intuition ont conféré grâce et élégance à tout ce qu’il entreprit; mais toute sa vie il aima à répéter qu’il était avant tout un poète…

Et c’est à cet homme unique, à ce poète, que la maison Bösendorfer dédie son dernier piano dans la série limitée intitulée “artistes”.

Ce modèle est issu de l’étroite collaboration entre Bösendorfer, le Musée Jean Cocteau et le Festival de musique de Menton dont le directeur artistique a déclaré que c’était

 

“un grand honneur pour le festival Menton qui fêtera cette année sa 66ème édition, de collaborer avec Bösendorfer pour ce piano d’exception. Cocteau a été un spectateur assidu du Festival et le lien particulier qu’il a entretenu avec la ville de Menton confère un sens aigu à ce projet.”

Contemporain de Picasso, Jean Cocteau a fréquenté et travaillé toute sa vie en association avec de nombreux artistes internationaux tels Igor Stravinsky, Erik Satie… Sa fascination pour la légende d’Orphée était bien connue, il admirait ce musicien considéré comme le plus illustre de tous les temps qui, avec sa lyre, charmait tous les êtres non seulement vivants mais les pierres également. Il en réalisa d’ailleurs une trilogie cinématographique.

C’est donc sans surprise que l’on retrouve le dessin original d’Orphée signé Cocteau sur ce magnifique piano signé, existant en série limitée et numérotée en 12 exemplaires, pouvant être commandé en polyester noir ou blanc et dont le cadre argenté et les accessoires en chrome rappellent l’attraction que les miroirs avaient sur Cocteau et que l’on retrouve dans “le Testament d’Orphée“.

piano Bösendorfer - Jean Cocteau

Avec une telle œuvre d’art en guise de piano, la maison Bösendorfer va, à n’en pas douter, faire rêver tous les pianistes et susciter des vocations.