Répondez franchement : Comment était votre éducation sexuelle ? Pas terrible, n’est-ce pas ?
Soyez honnête, et répondez-nous franchement : comment était votre éducation sexuelle ?
Pas terrible, n’est-ce pas ? Vous aussi on vous a dit un peu n’importe quoi, sur la performance, les corps désirables et non désirables, les orgasmes, les fantasmes, les choses à faire ou à ne pas faire pendant le sexe, sans oublier les injonctions glaciales sur la santé sexuelle ? Vous aussi on vous a dit que la masturbation c’était quand on était frustré(e) ? Vous aussi on vous a raconté que la taille comptait ? Vous aussi on vous a mis la pression sur le corps parfait et sexy, oubliant que dans la rencontre sexuelle, tout était érotique, et particulièrement les imperfections des uns et des autres ? Vous non plus on ne vous a pas expliqué grand- chose sur le plaisir ou plutôt tous les plaisirs d’une sexualité épanouie et d’une parole libre et libérée, sur tous les sujets ? Bienvenue au club ! Vous n’êtes pas seul(e), loin de là !
Si la nouvelle génération est plus « connectée », a priori plus informée, elle n’est cependant pas si heureuse de l’éducation sexuelle qu’elle reçoit, c’est la conclusion d’un sondage qu’a mené la mené par Durex, en fin d’année dernière : oui le sujet semble – enfin – ne plus être tabou, mais non l’information, celle qui apprend, dans la jouissance, ne semble pas tout à fait acquise ou pire transmise.
Si en France, 85%1 des femmes et des hommes entre 18-44 ans se sentent à l’aise avec le sujet de la sexualité. 69%1 considèrent que l’éducation sexuelle à l’école devrait être améliorée. Triste constat, 3 adjectifs ressortent pour décrire le ton des médias sur le sujet : inaccessible (24%1), déshumanisé et trop scientifique (22%1) ou trop puritain (20%1)…
Résultat : une grande majorité d’entre eux aimeraient que l’information sexo soit diffusée par des « vraies gens » (75%1), et des spécialistes (64%1), un bon mix pour notamment contrer les fakes news. Côté sources : 50%1 des sondés trouvent des infos sur la sexualité en discutant avec des amis, 43%1 sur les réseaux sociaux, 35%1 sur les forums et 31%¹ dans le porno.
Plus spécifiquement, les hommes sont surtout informés par la pornographie, tandis que les femmes de 18 à 24 ans sont plus en affinité avec les nouveaux médias et les réseaux sociaux. Une autre étude (Harris interactive) de 2017 révélait que, parmi 18-24 ans, seulement 1% ² avaient, au sein de leur éducation sexuelle, entendu parler de plaisir. 1% !
Parce que nous avons tous droit à une sexualité épanouie où plaisir, consentement, écoute et respect mutuel se rassemblent. La plateforme SEX HAPPINESS signée Durex prône une sexualité décomplexée, éclairée et safe. Elle entend donner à tous et toutes le pouvoir de s’éduquer et de s’approprier sa propre sexualité, en fonction de ses goûts et de ses envies, dans un ton accessible, simple, inclusif, ouvert et décomplexé, où le plaisir a retrouvé sa place centrale.
Ce sont 7 épisodes co-créés avec des sexologues, des créateurs de contenus et de leur communauté pour répondre aux questions que vous vous posez sur le plaisir qui seront mis en ligne tout au long de l’été.
1/ Étude réalisée par Episto pour Dentsu sur un échantillon national représentatif de 1 000 personnes âgées de 18 à 44 ans, interrogées du 17 au 29 novembre 2021.
2/ Étude Harris interactive réalisée sur un échantillon national représentatif de 1 000 personnes âgées de 18 ans et plus, interrogées en décembre 2016 et janvier 2017
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