Aujourd’hui le monde s’ouvre de plus en plus à la recherche de pièces automobiles, les moins chères, pour l’entretien de son véhicule.
Avoir aujourd’hui une voiture, à l’avantage de ses inconvénients, l’avantage premier étant sa disponibilité permanente. Elle est à vous et elle vous appartient. Mais la possédée implique un coût plus ou moins important selon le modèle mais aussi parfois la marque. D’après l’ACA (Automobile Club Association, Budget de l’Automobiliste – mars 2018), en 2017, les propriétaires ont dépensé en moyenne 6 063€ par an pour leur auto, c’est à dire entre 4912 euros TTC à 9906 euros, en fonction des modèles. Toujours selon cette étude, l’année 2017 a notamment été marquée par une hausse générale des dépenses automobiles. L’achat d’une voiture neuve se fait souvent sur un coup de coeur, mais aussi sur le résultat d’un calcul financier, qui prend en considération, le prix d’achat, la consommation, les réparations, et la prime d’assurance.
Alors, comment réduire ses dépenses et notamment celles, d’entretien ? Pour une Renault Clio par exemple explique l’Automobile Club Association, à moins de 14 400 km dans l’année, en 2017, l’essence est par exemple plus économique que le diesel, mais au-delà de 14 400 km la Clio diesel reste tout de même plus économique que la Clio essence. Le budget total de la Dacia Logan diesel en 2017 était lui, de 4 912 euros, pour 8 638 km parcourus.
Mais aujourd’hui le monde s’ouvre de plus en plus à la recherche de pièces moins chères pour l’entretien de son véhicule. D’autant que le prix des pièces détachées représente près de la moitié du montant de la facture d’entretien d’un véhicule. Le baromètre du prix des pièces de rechange publié par le SRA (Sécurité et réparation automobiles), l’organisme de statistiques des assureurs qui a pour mission de suivre l’évolution tarifaire d’un panier type de pièces de rechange neuves, a mis en place, un nouvel indicateur. Ce dernier suit l’évolution du coût des pièces, et il prend en considération l’arrivée des nouveaux modèles de même que les variations de prix et du nombre de pièces lors des changements de génération. Le SRA a établi à partir d’un échantillon de véhicules représentatif du parc français, un panier composé de 50 à 60 pièces de carrosserie et de mécaniques.
En en 2017, par exemple, chez Renault une hausse de + 3,6 % et chez et Dacia une hausse de + 3,1 %, mais aussi chez Peugeot et Citroën (+ 4,7 % et + 4,8 %). De nos jours nos autos ne se réparent plus qu’avec des pièces neuves, favorisé notamment, par loi de 2015 sur la transition énergétique. Le recours aux pièces de réemploi et à l’échange standard permet de faire baisser la facture des réparations. Des entreprises, par exemple, comme www.piecesautostore.fr, l’un des leaders de la pièce automobile, propose des pièces de qualité pour n’importe quel modèle de voiture. Et donc, peut-être, une nouvelle manière de commencer à réaliser de bonnes économies.
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