Après Astérix chez les Pictes, revoilà le plus célèbre des Gaulois de retour pour ses 36ème aventures intitulées « Le papyrus de César », co-écrit par Jean-Yves Ferri au scénario et Didier Conrad aux dessins.
Après la mort de Goscinny en 1977, Albert Uderzo avait mis un terme à sa carrière de dessinateur il y a quelques années et confiait récemment au Figaro : “René Goscinny et moi avions le sentiment d’avoir tout dit dans Astérix. La preuve que non”.
Astérix se porte bien, son précédent album de 2013 s’étant vendu à plus de 5,4 millions d’exemplaires en 24 langues et dialectes. Le nouvel opus attendu le 22 octobre prochain en Europe et au Québec a fait l’objet d’un premier tirage annoncé de 1,8 million d’exemplaires, et se présentant déjà comme l’événement éditorial de cette fin d’année, nul doute qu’il connaîtra le succès des précédentes histoires.
Cette fois-ci, afin de conquérir ce petit bout de Gaulle qui ne veut pas plier devant lui, Jules César se lance dans la communication en s’adjoignant ainsi les services de Bonus Promoplus, inspiré de Jacques Séguéla, qui sera le méchant de l’histoire. Ce conseiller en communication influent, donnera l’idée à César de rédiger ses mémoires (La Guerre des Gaules).
