Le masque au début du XVIIe siècle, époque où le masque est l’accessoire de la fourberie. Il est alors la métaphore d’une attitude trompeuse : Bas les masques. Aujourd’hui, il protège nos vies masquées en couleur.
Le masque, c’est déjà de l’histoire ancienne comme ces masques en pierre néolithique, daté de vers 7000 avant notre ère (Musée Bible et Terre Sainte, Paris). Le masque peut servir à la fois de déguisement, de masque de combat, de masque de beauté, de masque de sport, de masque de carnaval, de masque de théâtre ou de cinéma, de masque mortuaire ou chamanique, etc….Le masque a pour principal objectif de dissimuler aux autres la personne qui le porte.
Mais aujourd’hui en cette année covidesse, le masque a changé de position et de mode de fonctionnement, il est devenu barrière de protection. Aujourd’hui, porter un masque est devenu pratiquement une corvée, car devenu obligatoire.
Ces masques sont des masques de protection respiratoire. Ils sont soit jetables en fibre synthétique, en non-tissé ou en papier filtrant. Soit en tissu étant statistiquement disent certain, moins protecteurs, mais confectionné avec du textile, généralement des tissus en coton, ils sont lavables et réutilisables.
En résumé, le masque barrière hygiénique couvre l’ensemble du nez, de la bouche et du menton. Il est tenu, en général sur les oreilles, par des élastiques ou des lanières.
Les masques constituent-ils une barrière efficace contre le coronavirus ? C’est aussi la question qui continue à être posée. En attendant les réponses, le masque est devenu aussi et en quelque sorte, une autre manière de se présenter et de lancer ses couleurs. En voici quelques exemples non représentatifs, mais tout de même très intéressant.
Photo by Piero Biasion
Bas les Masques
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